29.10.04
Arafat soigné à Paris
A côté du drame humain personnel autour de la vieillesse et de la maladie (mais un homme politique tel que le président palestinien ne s'appartient plus vraiment), je vois au moins deux aspects positifs:
- c'est lui qui est parti (et pas Israël qui l'aurait contraint à l'exil);
- pour une fois la France joue positivement son rôle dans le concert international en l'accueillant: si son inéluctable décès (ou sa démission) survient à Paris, ce sera quand même plus difficile d'en blâmer les Israéliens ou à la CIA.